Plus que le fameux mouillage de la baie des Verges, nom corrigé par les missionnaires catholiques en baie des Vierges, nous avons été émerveillés par l’accueil chaleureux et généreux des marquisiens d’Hananave, un des deux villages de Fatu Hiva.
En effet, les habitants proposent spontanément de nous offrir les fruits de leur jardin en échange ou non …de foulards, d’échantillons de parfum, d’habits, de chaussures, de bouts pour les bateaux ou les chevaux…etc. 
Si bien que nous avons fait un marché exceptionnel sans aucun argent….de toute façon, nous n’avions pas de francs pacifiques et, aucune banque, aucun distributeur d’argent n’existent sur l’île.


En échange de tee-shirts pour la petite Mia, un fruit de l’arbre à pain , des pamplemousses, des citrons et le pain du boulanger du deuxième village

Fatu Hiva est une petit île très montagneuse avec deux sommets d’environ 1’000 mètres, très sauvage et isolée, puisqu’il n’y a ni piste d’atterrissage, ni aucune liaison régulière par bateau.

Seul l'”Aranui”, un cargo mixte, fret et passager, fait escale toutes les trois semaines pour ravitailler l’île et débarquer des touristes pour une demi-journée.


L’église et l’école


Les gens

Une route-piste pour 4×4 de 17 kilomètres relie les deux villages Hananave et Omoa. 
Nous l’avons parcourue dans un sens en presque 5 heures d’effort entre soleil, averses et terrain boueux.
Heureusement, les parties les plus pentues proches des villages sont bétonnées. Cela fait environ 700 mètres de dénivelé à monter et à descendre.


Temo, l’artisan sculpteur, nous mène à Omoa, départ de la randonnée

Les tikis de bienvenue

Omoa, vu de haut

Vue plongeante sur Viramundo, baie des Vierges


La nature :


A propos du mouillage de Fatu Hiva…


Les raies mantas…l’ombre blanche… y viennent chasser chaque jour…



….et le gibier s’enfuit.

Mouillage enchanteur…pas tous les jours…il manque le bruit des rafales de vent dévalant les pentes à près de 40 nœuds…

Fermer le menu